Le half marathon des sables raconté par Christian B.

Une petite histoire sur le Half marathon des sables avec aussi quelques photos.

Il y a bien des choses à raconter sur l’organisation de cette course, je parle des organisateurs et de toutes les misères que l’on a vécues, ainsi que les pannes d’avions à l’aller comme au retour. Comme la première surprise arrivé sur la plage ou l’on a appris. Qu’il fallait abandonner nos valises de suite et se mettre en tenu de course. Aller ça met dans l’ambiance! Tous à poils. Attention sable brulant, la pression monte.

Mais là c’était le début d’une belle aventure et cela grâce à Joachim. Bien cadré sur le sac, avec le mot de rigueur le « poids », ainsi que les bonnes adresses du net (pour la bouffe). Avec quand même avec la peur de ne pas avoir assez à manger (je suis pas gros, mais avec un bon appétit). J’avoue que malgré toutes ces appréhensions, tout c’est bien passé.

Les deux premières courses mettent dans le bain, 26,5 km et 700 m D+ et 57,6km 1700D+ ou il la fallu porter sur le dos plus de 6kg avec l’eau. Le 57 km où l’on a quand même couru dans du sable mou et affronté de très fortes rafales de vent et bien-sur le sable qui vole. Résultat lèvres brulés et surtout quelques ampoules.

Ouf, le lendemain jour de repos. On soigne ses pieds et on profite de la mer pour certain du groupe mais surtout on rafraichit ses pieds. Ça avait même, des airs de club Med. Quelques secousses sismiques qui réveillent, même en pleine nuit mais rien d’anormale pour là-bas.

Dernier jour, on se retrouve avec un sac super léger, les pieds qui vont mieux et des ailes dans le dos pour faire les derniers kilomètres, au bout la douche (car pas lavé depuis 4 jours, toilette de chat seulement). Et voici le 22,1 qui m’a paru le plus court de mon passé de coureur.

J’ai eu quand même deux parcours plutôt traumatisants (environ 80km en deux jours) dans les jambes et j’ai fini ce 22km en 2h50 (m’a paru trop facile).

C’était une belle expérience, qui m’a donné envie d’en faire d’autres du même genre. C’était à la fois long et court, dure et facile, surtout inoubliable.

A bientôt sur la piste ou les dimanches du club

Christian